La démocratie
La démocratie, c’est quoi à vrai dire? Quand est-elle née, où, pourquoi et grâce à qui et à quoi?
Petit rappel concernant son étymologie pour ceux qui l’auraient déjà oubliée et pour ceux qui l’ignorent encore, par malchance, forcément:
Le terme de démocratie vient de démokratia, δημοκρατία en grec ancien, qui n’est autre que la fusion de deux autres termes dont le premier signifie le peuple et le second gouverner. Et nullement le contraire, pour ceux qui auraient tendance à comprendre tout à l’envers.
Mais ce petit blabla ne désigne qu’une parcelle, la nôtre, de cette immense champ imaginaire où peuvent émerger nos plus salubres libertés.
- Malheureusement, cette nôtre est souvent arrangée voire manipulée par les élus de nombreux pays occidentaux et occidentalisés! crierait ma concierge glaronaise lors d’un manifestation devant le Palais des Nations à Genève... Et vos veto en sont la preuve!
Définition du petit Larousse:
Système politique, forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple. [La démocratie politique est née dans la Grèce antique. Pourtant, ce n’est pas avant le XVIII e siècle que fut formulée la théorie de la séparation des pouvoirs (Montesquieu) et mis en place le suffrage universel (États-Unis, 1776), qui en sont deux des fondements. Le respect des libertés publiques est au cœur même du fonctionnement de la démocratie dite aujourd'hui « libérale ».]
A vous de juger, mes chers compatriotes et amis fidèles de la Suisse!
Ils sont reconnaissants nos voisins, non?
Bref, ce n’est pas de leur faute, ils ont toujours été assujettis mentalement par des rois et des présidents prétentieux qui, pourtant, adoraient jouer à cache-cache et à saute-mouton avec leurs maîtresses à travers les 365 pièces de l’Élysée. Et ce cirque perdure probablement encore.
Bien que ce goût naturel pour une gouvernance juste et logique ait traversé l’esprit de plusieurs individus et groupes dans l’antiquité, en Inde comme en Mésopotamie, pour simplifier ma thèse, je dirais en mon âme et conscience qu’il a vu le jour en Égypte dans la tête du sieur Solon, plus grec que moi selon mon ADN, grâce à la première grève de l’histoire qui a eu lieu à Set Maât her imenty Ouaset, ou Deir al-Médîna en arabe, village situé entre le Ramesséum et la vallée des Reines, où j’ai fait une courte sieste dans le sarcophage de Néfertari, épouse de Ramsès II. C’est la pure vérité!
Solon, n’était pas un type con. Loin de là! C’est normal, il était grec, un Grec de l’époque des grands philosophes et non pas un métèque baptisé dans une église orthodoxe.