Alors, alors!

 Vu que le temps a effacé à jamais toutes les spéculations et les rumeurs tous azimuts, l’imagination, la reine de toutes les libertés, me laisse le champ libre. Et qui sait, ainsi une vérité oubliée, cachée ou endormie risquera peut-être de voir le jour.

 Il ne faut tout de même pas oublier que le sieur William était anglais et, comme la plupart des sujets de sa Majesté, de hier, d’aujourd’hui et de demain sûrement, il n’y a pas plus sacré que le Royaume.

 Et ce, sans doute, afin de préserver la morale de sa société bien aimée, il a fait en sorte que son histoire d’amour raté ou inachevé se déroule très loin de chez lui et des siens, à Vérone plus exactement.

 Car! Car? 

 Je me demande bien si dans sa tête Juliette n’était par un Jules ou une Romaine à la place de Roméo, dans un tout autre contexte bien entendu.

 Et! Et?

 Certaines personnes, tel que mon professeur de littérature au collège, pensent que les œuvres du dramaturge de Stratford-upon-Avon ont été écrites par quelqu’un d’autre voire plusieurs autres... tellement elles sont riches psychologiquement. A croire même que ce dernier ou ces derniers connaissaient à fond les sciences de la psyché humaine des siècles avant les illustres inventeurs de la psychanalyse et de ses dérivés.

 Bref, changeons de disque et passons à l’acte au lieu de ratiociner, car j’ai une envie folle de vous raconter l’inverse de  Roméo et Juliette. 

 Comment ça?

 Lisez la suite, s’il vous plaît!...