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Derrière la vitre brisée (4, à suivre)

 Derrière la vitre brisée de Hank Vogel-.jpgQuand on parle du loup, on en voit la queue! Mas là, il s’agit de sa chevelure rousse. De la miss, bien entendu.

 En bas, sur le parking, Double Z sort subitement d’une voiture de luxe noire suivie par trois hommes barbus.

 Vu leurs accoutrements, se sont soit des  fous qui se sont échappés d’un asile dont le directeur est un tortionnaire soit des clowns  qui ont fui un cirque envahi par des sauterelles géantes, identiques à celles de la dixième plaie d’Égypte, me dis-je... Le plus grand est déguisé en pasteur évangélique, le moyen en imam et le plus petit ou le plus voutée en  rabbin.

 Ils forment un cercle et se mettent à discuter.

 Tout cercle à quatre finit-il toujours en cercle vicieux? je me demande.

 Non!

 Et j’efface aussitôt cette question gênante de mon répertoire mnésique. Bien qu’en réalité rien ne se passe ainsi.

 Toute pensée bien élaboré, bonne ou mauvaise, s’inscrit à jamais dans notre mémoire.

 Et les futiles alors?

 - Mais toute futilité n’est pas forcément futile, crierait sur tous les toits mon ami philosophe lors d’un soirée bien arrosée.

 Spot! Je me disperse, je m’égare, je divague...

 Retour donc à mes babouins!...

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